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Lorie Pester nous fait découvrir la chanteuse Joyy : Interview

 

Joyy et Lorie Pester  Crédit photo : © Yan Forhan/LMD2 Production
Joyy et Lorie Pester
Crédit photo : © Yan Forhan/LMD2 Production

 

La célèbre chanteuse et comédienne Lorie Pester a bien changé… En plus de son statut d’artiste, elle développe de nouveaux projets, toujours en quête de nouveaux talents.

Elle a sans doute trouvé la perle rare en la personne de Joyy, une ravissante Française de 19 ans à la voix stupéfiante.
Vous n’avez qu’à écouter son premier single, Graffiti Girl, pour vous en rendre compte.
Nous avons décidé d’en savoir plus sur elle et nous sommes donc allés la rencontrer lors d’un entretien privé dans la suite d’un hôtel près des Champs-Élysées, en présence de sa marraine de cœur, Lorie Pester.

Bonjour Lorie, quelle fut ton impression sur Joyy lorsque tu l’as vue la toute première fois ?

Bonjour Laurent, je me suis dit : « C’est elle ! » C’était lors d’une soirée, elle est venue me parler, et nous nous sommes tout de suite très bien entendues, c’était presque magique.
On ne peut pas l’expliquer, cela s’appelle le feeling, tout simplement. J’ignorais que cette ravissante demoiselle voulait devenir chanteuse, mais j’ai décelé chez elle un charisme auquel on ne peut pas rester insensible.

Joyy, pourrais-tu te présenter à mes lecteurs qui ne te connaissent pas encore ?

Joyy Crédit photo : © Yan Forhan/LMD2 Production
Joyy
Crédit photo : © Yan Forhan/LMD2 Production

Bonjour Laurent, j’ai 19 ans, cela faisait plus de dix ans que je vivais à Miami. Je fais de la musique depuis toute petite car j’adore ça. J’ai même composé mes premières ballades à 14 ans.
À la fin de mes études, je savais que je voulais m’orienter vers la chanson et pas autre chose.
J’ai donc annoncé à mes parents mon souhait de revenir en France, dans l’espoir de rencontrer des gens qui travaillent dans l’univers musical. Et dans celui de redécouvrir mes racines.
En France, j’ai eu la chance de rencontrer Lorie Pester et grâce à elle, j’ai enfin pu démarrer ma carrière de musicienne et de chanteuse.

Joyy, pourrais-tu nous en dire plus sur votre rencontre ?

Nous nous sommes rencontrées lors d’une soirée chez un ami commun, je ne pensais pas du tout y croiser Lorie. Lorsque je l’ai vue, je me suis dit : “Waouh, c’est elle !” (Rires).
Je la connaissais bien évidemment au travers de sa carrière musicale.
Même en vivant aux États-Unis, je savais ce qu’il se passait en France et je suivais donc son actualité avec beaucoup d’attention. J’ai alors décidé d’aller à sa rencontre pour me présenter à elle.

Joyy, en regardant avec attention ton journal de bord vidéo, tu montres beaucoup de choses à tes fans, notamment la signature de ton contrat avec LMD2, la boîte de production de Lorie.

Absolument, pour un artiste, tout démarre à partir d’un contrat, et j’ai voulu dans mon journal intime vidéo montrer à mes premiers fans l’envers du décor.

Lorie Pester : J’aimerais préciser à tes lecteurs, Laurent, que montrer dans la vidéo la signature du contrat était surtout la preuve d’une confiance indéfectible entre Joyy et moi. C’est une séquence très symbolique.

Lorie, tu connais beaucoup de monde dans le show-biz, il peut parfois être très cruel, ton parrainage de Joyy ira-t-il jusqu’à la protéger des mauvaises influences ?

Le premier single de Joyy Graffiti Girl Crédit photo : © Yan Forhan/LMD2 Production
Le premier single de Joyy Graffiti Girl
Crédit photo : © Yan Forhan/LMD2 Production

Sans hésitation, la réponse est oui. Mon rôle est de guider Joyy à travers le monde professionnel et artistique, mais aussi tout ce qu’il peut y avoir à côté.
Devenir médiatique n’est pas toujours simple pour un artiste, j’aurai donc également vis-vis de Joyy le rôle de grande sœur afin qu’elle ne subisse pas d’influence négative et ne fasse pas de mauvais choix.

Si elle a des questions, des doutes sur n’importe quel sujet, même plus personnel, elle peut m’en parler, elle doit m’en parler.
Je serai là, non pour ordonner ses choix, mais juste pour la guider en lui faisant partager mes expériences, les bonnes comme les mauvaises.

Lorie, dans le journal de Joyy, tu confies qu’elle est la petite sœur que tu n’as jamais eue, pourquoi cette déclaration ?

C’est ce que je ressens, tout simplement. Je suis fille unique et toute petite, je répétais sans cesse à mes parents que je voulais une petite sœur (rires). Malheureusement, je n’en ai jamais eu. En plus du côté artistique, Joyy et moi avons de nombreux points en commun, elle a fait des années de tennis en sport étude, et moi des années en patinage artistique.
On se rejoint sur plein de choses et on s’entend vraiment très bien. Tout cela fait de Joyy cette petite sœur qui m’a tant manqué.

Dois-je comprendre, Lorie, que si plus tard tu as des enfants, tu voudrais en priorité une fille ?

(Rires) Cela m’est complètement égal du moment qu’ils sont en bonne santé. Mais c’est vrai, petite, j’avais vraiment envie d’une sœur (rires).

Joyy Crédit photo : © Yan Forhan/LMD2 Production
Joyy
Crédit photo : © Yan Forhan/LMD2 Production

Joyy, où en est la préparation de ton album ?

Pour l’instant, nous diffusons la Web-série. Le single Graffiti Girl est sorti, il y aura bientôt le clip.
Nous sommes en train de concevoir l’album, hier encore nous étions en studio et si tout va bien, il sortira en mai 2015.
Nous préparons la scène également, elle sera l’aboutissement de tout le travail effectué.

Joyy, qu’as-tu pensé de la nouvelle Lorie et de son nouveau style musical, avec une chanson telle que “Dita” ?

Quand j’étais plus jeune, j’écoutais beaucoup ses premières chansons, après je suis partie aux États-Unis, je baignais dans une ambiance musicale plus anglo-saxonne.
À mon retour en France, j’ai vu que Lorie avait évolué, au niveau de sa direction artistique, de sa voix et surtout de son image. C’est dans la logique des choses, et moi je continue d’apprécier son parcours et ses talents de chanteuse devant lesquels je suis toujours en admiration.

Lorie, pourrais-tu nous parler des deux prochains films dont tu seras à l’affiche ?

Avec plaisir. J’ai tourné mon tout premier film de cinéma, en Algérie, à Oran, Les Portes du soleil, réalisé par Jean-Marc Minéo.
J’ai beaucoup aimé jouer dans ce long métrage car mon rôle était très éloigné de ce que je suis en réalité.
J’ai dû prendre des cours de combat, des cours de tir, mon personnage est torturé, presque psychopathe, c’était passionnant à faire.

Puis en juin dernier, je suis partie dans désert de Gobi pour tourner Dragon Blade, une super- production chinoise avec des moyens hallucinants, j’ai d’ailleurs joué en anglais.
J’ai fait des rencontres merveilleuses comme celle de John Cusack, Jackie Chan ou encore Adrien Brody, c’était comme dans un rêve (rires).
Je suis vraiment impatiente de voir ce film.

Joyy et Lorie, votre mot de la fin ?

Merci pour cette interview, Laurent, et à tes lecteurs, nous disons : « À très bientôt ! »
https://www.facebook.com/joyyofficial
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http://instagram.com/joyyofficial
http://www.wat.tv/joyy-officiel
https://itunes.apple.com/us/album/graffiti-girl-single/id954851272

Propos recueillis par Laurent Amar

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