Après Annecy en novembre dernier, après le Festival de Cannes, c’est à Lyon que l‘on a pu retrouver l’un des évènements les plus prestigieux dédiés à la mode, La Fashion Glam Couture.
Comme toujours, Myriam Larriere a fait les choses en grand. En effet, les défilés eurent lieu dans deux des plus beaux hôtels de la ville, au « Best Western Charlemagne » tout d’abord, au « Grand Hôtel des Terreaux » ensuite.
Nous remercions M me Bernard, directrice de ces établissements, pour avoir accueilli avec autant de gentillesse les créateurs, les mannequins et tous les partenaires de l’évènement.
La marraine, cette année, n’était autre que la célèbre actrice Grâce de Capitani. Celle-ci portait pour l’occasion une robe créée par un couturier phare de cette Fashion Glam Couture, Frédéric Duverneuil, ainsi que des bijoux de la marque « Vos Bijoux d’Ailleurs ». Le premier défilé fut celui des maillots de bain « Storge », marque d’origine ukrainienne. Grâce nous a offert un merveilleux poème spécialement dédié aux créateurs en général, qu’elle a intitulé de façon fort judicieuse Mes indispensables.
Les modèles, choisies par Myriam, défilèrent tout en élégance ; elles portaient de véritables œuvres d’art, confectionnées avec amour.
Citons la sublime Estelle Virepinte, également assistante de Myriam, les non moins superbes Stéphanie Monclin, Khoudia Mbaye, Wendy Da Costa ou encore Priscilla Delay et Priscilla Rodriguez. Toutes ont représenté avec brio les créateurs mis à l’honneur pour cette Fashion Glam Couture.
Nous remercions chaleureusement Myriam Larriere et Dany Dombi d’avoir choisi Stars-media comme partenaire de ce show, devenu incontournable dans le monde de la mode. Nous vous proposons de continuer cet article par une interview exclusive de Melle Grâce de Capitani.
Bonjour Grâce de Capitani, pourquoi avoir accepté d’être la marraine de la Fashion Glam Couture de Lyon ?
Bonjour Laurent, tout d’abord parce que Myriam Larriere, l’organisatrice de l’évènement, me l’a demandé si gentiment que je ne pouvais refuser.
Ensuite, je dois avouer que j’aime profondément la mode. Les créateurs se donnent sans compter à la féminité et ils ont droit à tout mon respect. Je m’incline humblement devant eux, car ils font tout pour nous mettre en valeur.
Vous avez vu beaucoup de créateurs lors de cet évènement, quels furent vos coups de cœur ?
Bien entendu, le créateur qui m’a offert la robe que je portais hier soir, Frédéric Duverneuil.
Il a fait les dernières retouches dans ma chambre et j’ai trouvé son travail absolument remarquable.
J’ai beaucoup aimé sa façon de mélanger de la dentelle de Calais, souvent associée à la lingerie, avec une petite étole en renard. Cette robe m’a valu les compliments de tous les invités. Grâce à Frédéric, je fus une marraine remarquée.
Qu’avez-vous pensé de la qualité des œuvres des plus jeunes créateurs ?
La diversité des créations était très intéressante, toutes passionnantes à regarder. Mention spéciale également aux mannequins qui portaient avec tant d’élégance ces magnifiques vêtements.
Vous avez écrit un poème dédié à cette Fashion Glam Couture, pourriez-vous nous en parler ?
Eh bien, c’est un certain Laurent Amar, c’est-à- dire vous (rires), qui me l’a commandé. J’ai accepté et j’ai écrit une poésie en vers rimés, très rapidement, car le sujet m’inspirait. Je l’ai intitulée Mes Indispensables, en référence à tous ces merveilleux créateurs.
Que diriez-vous de l’univers de la mode en général ?
On y trouve certaines extravagances, des consignes données aux mannequins, qui les obligent à être maigres, si faméliques qu’elles n’arrivent même plus à descendre les escaliers. Fort heureusement, cela ne sera bientôt plus permis. De ravissantes jeunes femmes, à cause de l’exigence de certains créateurs, sont parfois en mauvaise santé et cela, je ne puis l’accepter.
Quels sont vos projets, Grâce ?
En premier lieu, assumer le prix littéraire que je viens de recevoir pour mon troisième recueil de poésie et dont je suis très fière.
Votre mot de la fin ?
La « sous-douée en vacances » ou la « call-girl » des « Ripoux » a fait du chemin, et elle ne le regrette pas (rires) !
Enfin, je suis très heureuse d’avoir été choisie à deux reprises par l’un des monstres sacrés du cinéma français, M. Jean-Pierre Mocky, pour des rôles importants dans ses derniers films, « Le Cabanon Rose » et « Rouges étaient les lilas ».
Dans le premier, j’ai pu faire la rencontre de Jean-Marie Bigard, un homme charmant et plein de talent, et dans le second, j’ai découvert une actrice merveilleuse, Delphine Chanéac.
Propos recueillis par Laurent Amar
.