Née en 1988 d’un père Espagnol et d’une mère Belge, c’est à Bruxelles que Gaëlle a commencé sa carrière de mannequin, s’affichant rapidement sur plusieurs couvertures de magazines.
Le paysage audiovisuel belge lui ouvre alors ses portes pour des talk-shows, la belle n’ayant pas la langue dans sa poche !
D’abord présentatrice aux côtés d’Alexis Laipsker dans la saison 4 de « La Maison du bluff », la jolie Gaëlle a ensuite participé à l’émission en tant que candidate.
Objet de toutes les polémiques, suite à ses ébats avec Vincent Queijo, un autre candidat, durant le tournage de l’émission, Gaëlle se livre entièrement à Stars-media et donne le bilan de son passage très remarqué dans « La Maison du bluff ».
Bonjour Gaëlle Garcia Diaz. Tu devais présenter « La Maison du bluff » saison 4, mais tu as finalement participé à l’émission en tant que candidate. Pourquoi ?
Bonjour Laurent. Après environ deux semaines de discussion avec les producteurs de l’émission, nous avons décidé, un soir par téléphone, de tenter un immense coup de bluff en m’annonçant comme co-présentatrice de « La Maison du bluff ».
Nous avions d’ailleurs énormément communiqué là-dessus dans la presse et pendant une semaine, j’ai donc présenté l’émission avec Alexis.
Et, lors du premier conseil, nous avons dévoilé le bluff aux autres candidats en leur avouant que je n’étais absolument pas présentatrice, mais une candidate comme les autres.
Étais-tu vraiment joueuse de poker ou bien as-tu appris à le devenir pour l’émission ?
J’ai commencé à jouer il y a quatre ans. Je faisais principalement des parties de Cash Game, j’allais souvent au casino, même seule, pour jouer de petites sessions à petits prix d’entrée. J’ai été coachée pendant plus de trois ans et depuis maintenant un an, je joue de manière intensive sur Internet afin de me préparer à différents tournois.
On ne peut pas dire que je sois une joueuse professionnelle, mais je suis passionnée par ce jeu et j’ai surtout la chance de pouvoir jouer les tournois live du plus grand site de poker de la planète : PokerStars. Je savais donc jouer au poker bien avant « La Maison du bluff ».
Comment êtes-vous devenus amants, le candidat Vincent Queijo et toi ?
La première semaine de l’émission, j’essayais de garder mon « self-control », car j’étais déjà très attirée par Vincent. Je ne voulais absolument pas tomber amoureuse de ce garçon dans une téléréalité, je trouvais cela beaucoup trop « cliché ». Mais l’amour est plus fort que tout, et j’ai complètement oublié que je me trouvais dans un jeu télévisé. Je suis tombée amoureuse de Vincent Queijo et Dieu merci, c’était réciproque (rires). Nous avons décidé de ne pas cacher notre amour pendant le jeu, car nous trouvions cela inutile. Désormais, nous ne nous quittons plus.
Il existe des vidéos sur YouTube où l’on vous voit, Vincent et toi, quitter la douche ensemble. Cela te gêne-t-il ?
Je ne me doutais absolument pas, durant l’émission, du « buzz » qu’engendrerait ma relation avec Vincent.
En sortant de « La Maison du bluff », j’ai reçu des milliers de messages sur Twitter et Facebook. Au début je me disais : « Qu’ai-je donc fait de mal ? » Mais en y réfléchissant bien, je me suis dit que je n’avais rien fait de mal.
J’ai suis simplement tombée amoureuse d’un homme extraordinaire. Si les gens sont choqués par cela ou me critiquent, fondamentalement, je m’en fiche.
Tes futurs projets, Gaëlle ?
J’en ai beaucoup. Je vais continuer à couvrir toute la saison de l’EPT. Je ferais donc pas mal de webcast live pour commenter les tables télévisées des grands tournois.
Je tourne actuellement dans une série télévisée hollandaise, « Bluf », qui sera diffusée à partir de septembre prochain et dont chaque épisode durera au mois une heure. J’ai également le projet de reprendre le théâtre, j’avais suivi le cours Florent à Paris et cela me manque beaucoup. Et bien sûr, je continue le poker.
Ton mot de la fin pour les lecteurs de Stars-media ?
J’ai un message pour tes lecteurs, mais aussi pour toutes les personnes qui me suivent : « Je souhaite le meilleur à tout le monde. Être haineux, c’est tellement triste, il y a des problèmes dans ce monde qui dépassent vos pensées. Une minute de colère, c’est soixante secondes en moins de bonheur. Énervez-vous pour des choses qui en valent la peine et surtout… aimez-vous ! »
Propos recueillis par Laurent Amar
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