Un One Man Show qui se déguste comme une série déglinguée avec ses 30 personnages. C’est le
petit monde cartoonesque d’Alex lancé à toute vitesse dans lequel vont plonger les spectateurs de ce véritable show .
Alex se glisse avec malice dans la peau d’un accro aux séries télé bercé trop près de sa télécommande qui vient de vivre enfin sa toute première fois.
Il n’a qu’une envie : nous raconter comment… mais, à la manière d’une série : la sienne !!!
ET C’EST PARTI POUR 1 HEURE D’AVENTURES Chaque sketch est joué comme l’épisode d’une série décalée : Une soirée où les amis ne ressemblent pas vraiment à ceux de “Friends”; des mamans moins glam que les “Desperate Housewives” mais qui n’ont rien à envier à “Dexter”; une leçon de danse par téléphone très éloignée de “Fame” ou “Glee”; le show case du vainqueur déjà Has been de The Voice et enfin, une toute première fois dans un décor hors du commun.
Alex passe d’un personnage à l’autre comme par magie et sans aucun accessoire : un meilleur ami envahissant, un chanteur plus apprécié pour ses abdos que pour ses vocalises, une caillera gay lançant des mots d’amour comme autant d’insultes, une maman tendance psychopathe, un
transsexuel très affectueux, les gentilles victimes d’un film d’horreur, une beauté chevelue et surtout une guest star qui pourrait bien se trouver parmi les spectatrices !
Entre chaque épisode, Alex s’amuse de ces séries d’hier et d’aujourd’hui et les revisite à sa manière, pour faire voler en éclats tous les codes du genre : Jack Bauer coincé dans un ascenseur avec un poisson, un détenu cherchant à déchiffrer son tatouage, des apprentis danseurs obsédés par les brocolis…
Alex enchaîne les personnages avec une virtuosité incroyable, danse, improvise avec le public jusqu’à le faire participer d’une manière totalement inattendue.
SERIAL LOVER est un One Man Show écrit et mis en scène comme une série barrée mais c’est surtout un véritable show dans lequel Alex donne libre cours à son sens de la démesure et du décalage, pour donner vie à un univers très éloigné du quotidien. Un spectacle tout public dans lequel le visuel et le texte onttous deux leur place, très loin des standards habituels.
Source : service presse de “La Scène Déménage”.
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